Ping-pong
13 mar
Après la pétanque, la boxe ou, moins répandue, la course en escarpins, c’est le Ping-pong, longtemps relégué au rang de manie de jardin (voire de garage) qui devient The sport-to-do.
À Berlin, Tokyo et NYC, villes ô combien célébrées, et dans une moindre mesure entre les murs de notre capitale, la tendance fait rage. Bars à Ping-pong, soirées « tournantes », accessoires de luxe, tout y passe. Même les people s’y mettent. Pour n’en citer que trois : George Clooney, Scarlett Johansson et Suzan Sarandon. Cette trinité ne jure plus que par la petite balle blanche et la taquine ardemment dans quelques bars spécialisés. Citons le Spin club, qui devient l’endroit le plus en vue de Manhattan et le Fat Cat, club de jazz underground du West Village qui offre la possibilité à ses clients de se faire une petite partie entre deux sets de jazz.
Quant aux créateurs, ils ont saisi la balle au rebond. C’est le moins qu’ils pouvaient faire. Ils proposent la panoplie idoine : housse brodée à la main signée Jonathan Adler et set de raquette Diane von Fürstenberg.
Ce n’est pas tout : à l’honneur dans les clips et sur nos murs, le « Ping » devient une source intarissable d’inspiration pour tout ce qui est musicien, designer ou homo artisticus. La preuve par le son.
Jeanne Ably


